Epreuve du Certificat de Travail

11. Règlements pour performance et évaluation

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11.1 Lignes directrices

11.1.1 Les membres du club hôte, membres du bureau et comité d'épreuves, peuvent faire participer leurs chiens dans les épreuves en autant que ni eux ni aucun membre de leur famille immédiate est juge pour l'épreuve.

11.1.2 Dans l'épreuve du Certificat de travail les tireurs, lanceurs ou maîtres-chien ne porteront pas de vêtement distinctifs blancs ou de couleur claire mais les maîtres-chien peuvent porter des manteaux de maître-chien dans les abris pour le WCX.

11.1.3 Lors des épreuves les chiens dirigés par la même personne ou appartenant au même propriétaire seront séparés lorsque possible.

11.1.4 Les chiens peuvent participer dans un ordre autre que celui qui leur est assigné :

(a) quand, de l'opinion des juges ou du Comité de l'épreuve du Certificat de travail, ceci résultera en une économie de temps raisonnable et désirable dans le déroulement de l'épreuve ou;

(b) quand, de l'opinion des juges, ceci évitera injustice ou préjudice à un chien participant suite à un événement qui se sera passé dans une épreuve particulière.

11.1.5 Il est essentiel que tous les spectateurs dans la tribune soient assez éloignés de la ligne pour permettre au chien travaillant de discerner clairement son maître-chien et rien ne sera fait pour distraire l'attention d'un chien de son travail. Un maître-chien a le droit d'en appeler aux juges si la tribune nuit au travail du chien de quelque manière et les juges, à leur discrétion, peuvent, s'ils croient qu'il y a eu interférence, faire passer une autre épreuve.

11.1.6 Aucun entraînement ne sera permis sur les lieux de l'épreuve. Une bouée lancée par le maître-chien dans le but d'échauffement ne sera pas considérée comme entraînement.

11.1.7 Toute utilisation d'arme à feu à ces épreuves doit se conformer avec les règlements fédéraux/provinciaux. L'utilisation sécuritaire d'armes à feu par quiconque impliqué dans l'épreuve sur les lieux de l'épreuve est obligatoire.

11.1.8 Après que le comité du Certificat de travail ait choisi les lieux de l'épreuve, aucun chien participant ne pourra être entraîné dans cette partie des lieux de l'épreuve.

11.1.9 Dans toutes les épreuves, tous les chiens seront gardés là où ils ne peuvent ni voir les points de tombée pour un autre chien ni voir un autre chien travailler dans aucune série.

11.1.10 Tous les chiens doivent être gardés là où ils ne peuvent pas voir les oiseaux pour les retraits à l'aveuglette installés, et où ils ne pourront voir un autre chien travailler sur un retrait à l'aveuglette dans aucune série. Les membres du comité de l'épreuve du Certificat de travail devraient signaler les infractions à cette section au Maréchal. Les violations à cette section devraient être pénalisées en éliminant le chien et le maître-chien de l'épreuve.

11.1.11 Le droit de faire participer un chien ne peut être transféré sauf quand le maître-chien a été congédié de l'épreuve ou quand permis par le comité de l'épreuve du Certificat de travail.

11.2 Mise-en-place de l'épreuve

11.2.1 Il est très important que les juges inspectent les lieux de l'épreuve avec les représentants du comité de l'épreuve du Certificat de travail avant le début de l'épreuve, et demander leur avis par rapport à chaque anomalie des lieux non-visible au premier coup d'Ķil. A ce moment, les juges devraient choisir et déterminer la nature de chaque épreuve et sa location, de préférence pour toute la durée de l'épreuve. Egalement, le club hôte des épreuves doit fournir une organisation efficace pour gérer le côté pratique de l'épreuve. Ceci aidera grandement à réduire au minimum les délais à commencer les épreuves compte tenu, bien sûr, que les juges auront auparavant planifié et informé le comité de l'épreuve du Certificat de travail sur la location des séries suivantes et les besoins en gibier, fusils, tireurs, bateaux, leurres et ainsi de suite.

11.3 Avant le début de l'évaluation

11.3.1 Avant le début d'une épreuve ou d'une série d'épreuves, les juges doivent convenir de certaines décisions entre eux quant à divers détails et devraient constamment suivre les procédures suivantes:

(a) Lors du signal pour lancer l'oiseau, il est recommandé que chaque équipe lanceur/tireur reçoive un signal séparément. Ceci permet un temps uniforme entre les tombées et empêche également de lancer des oiseaux supplémentaires si les juges qualifient la tombée d'insatisfaisante. Le juge qui donne le signal devrait faire attention que ni son signal ni son ombrage distrait le chien.

(b) Un ordre verbal et/ou signal au maître-chien d'envoyer son chien est correct mais il n'est pas correct d'appeler le nom du chien ou le nom du maître-chien dans ce but.

(c) Chaque juge devrait être libre de dire 'non' et indépendemment si, de son avis, une tombée ou une situation se développe rendant l'épreuve relativement injuste pour le chien évalué. Dans de telles conditions, le chien devrait être repris immédiatement et évalué plus tard, avec de nouveaux oiseaux, après avoir attendu derrière la ligne jusqu'à ce que plusieurs autres chiens aient été évalués.

(d) Les juges devraient surveiller le chien en évaluation et essayer de déterminer s'il a apparemment vu et repéré chaque tombée. Il est bien et juste de lui donner un autre ensemble d'oiseaux s'il est incapable de voir les oiseaux et repérer les tombées sans que ce soit sa faute mais dû à un mauvais vol d'oiseau, conditions lumineuses inhabituelles, changements frappants dans le paysage de fond ou quelqu'autre circonstance qui créent des conditions différentes de celles de l'évaluation des chiens jugés précédemment. D'un autre côté, le chien ne devrait pas avoir un nouvel ensemble d'oiseaux quand le manque à repérer était de sa propre faute ­ que ce soit par manque d'attention ou parce que son attention était figée sur un autre ensemble de lanceur/tireur ou une tombée précédente.

(e) Quand à la ligne, si les chiens travaillant rampent vers l'avant ou s'élancent avant d'être envoyés, sans s'échapper, les juges devraient s'entendre s'ils doivent revenir au pied avant d'être envoyés pour rapporter. Si tel est le cas, les maîtres-chien devraient être informés de ce besoin, à l'avance, et de quelle façon ils en seront informé à la ligne à ce moment. Egalement, une attention sera portée de telle façon à ce que ceci ne devienne pas extrêmement injuste pour les chiens honnorants.

(f) Les juges devraient s'entendre à l'avance sur les degrés qu'ils considéreront un élan contrôlé en contraste avec un élan contrôlé qui éliminera le chien. Ils devraient être en accord sur la sévérité des pénalités pour juger des divers degrés d'élans contrôlés.

(g) Les juges devraient garder des notes suffisamment détaillées sur la performance de chaque chien afin de leur permettre de s'en souvenir entièrement, ou au-moins de ses caractéristiques exceptionnelles. Chaque faute devrait être notée, même celles qui sont mineures. Même si ces dernières peuvent ne pas pénaliser le chien sur le coup, des répétitions de cette faute ou d'autres fautes variées, en séries successives, peuvent causer un total de fautes qui prennent des graves proportions.

11.4 Instructions pour maîtres-chien

11.4.1 Les instructions au maître-chien peuvent lui être données alors qu'il approche de la ligne quant à la position qu'il doit assumer, la nature de l'évaluation, et toute autre information spéciale sur la méthode désirée pour la compléter. Si des instructions spéciales doivent être données une énorme attention doit être portée afin que chaque maître-chien reçoive les mêmes instructions. Ceci peut être accompli en convoquant tous les maîtres-chien à la ligne avant le début des séries, et alors annoncer ces instructions spéciales au groupe une fois pour toutes. S'il n'est pas possible d'assembler tous les maîtres-chien pour une déclaration unique, les instructions spéciales peuvent être écrites et données au maréchal qui, à son tour, devrait les montrer à chaque maître-chien, avant qu'il aille à la ligne. Quelle que soit la méthode que les juges décident d'adopter, ils devraient s'assurer que tous les maîtres-chien reçoivent des instructions identiques.

11.5 Procédures à la ligne

11.5.1 Changer les évaluations après qu'une série ait débuté est une mauvaise procédure et devrait être évité si possible. Une façon d'éviter de telles évaluations insatisfaisantes, ou d'éviter des situations inattendues et imprévues est la pratique de faire passer l'épreuve à un chien cobaye au début de chaque série. Un chien cobaye est utilisé par plusieurs juges lorsque des conditions existent où ils peuvent avoir des doutes quant à la façon exacte du déroulement de l'évaluation. Certains croient que l'utilisation d'un chien cobaye épargne du temps et, à l'occasion, des embarras aux juges.

11.5.2 Si un chien doit être choisi et éliminé pour une mauvaise performance, des instructions à cet effet devraient être données par le juge qui appelle les numéros, néanmoins, la décision d'éliminer doit être un consensus des juges.

11.5.3 Chaque oiseau rapporté et livré au maître-chien devrait être inspecté par un des juges. Manquer d'inspecter les oiseaux rapportés doit être catalogué comme manque d'attention et pratique indésirable. Il est injuste pour tous les chiens qui sont évalués, non seulement en ce qui à trait à la question de dent dure mais plus particulièrement puisque cela peut fournir l'explication pour un ramassé plus lent ou toute autre bizzarerie dans la performance d'un chien. Toute condition inhabituelle d'oiseau devrait être portée à l'attention de tous les juges. Si les mêmes oiseaux sont pour être ré-utilisés, ceux qui sont endommagés devraient être mis de côté et ne pas être ré-utilisés.

11.5.4 Les chiens seront pénalisés s'ils sont bruyamment ou fréquemment retenus par leurs maîtres-chien quand à la ligne. Le degré de la pénalité devrait correspondre à l'étendue et la fréquence de la répétition de l'infraction. Même si ce n'est pas requis, c'est un geste prévenant de la part des juges, s'ils sont d'accord, d'aviser les maîtres-chiens quand leurs méthodes restrictives causent des pénalités pour leurs chiens.

11.6 Maréchaux et tireurs

11.6.1 Le Maréchal, en plus de ses autres devoirs, devrait appeler les chiens à la ligne et annoncer aux juges le numéro des chiens qui vont se faire évaluer. Il devrait rappeler à la ligne tout chien repris et qui devrait être ré-évalué plus tard. La durée du temps qu'un chien aura la permission d'attendre derrière la ligne avant d'être ré-évalué sera par pré-arrangement avec les juges. Le maître-chien devrait être avisé quand il sera ré-évalué au moment ou le chien est repris. Le maréchal obtiendra aussi des juges les rappels pour la prochaine série et les annoncera.

11.6.2 11.6.2 Les instructions données au maréchal et aux tireurs devraient être sur l'accord des juges, ils peuvent bien sûr varier de série en série. Les tireurs devraient demeurer tranquilles et ne pas changer de position après que leur oiseau soit tombé. Les tireurs ne devraient donner l'information qu'aux juges :

(a) s'ils suspectent leur oiseau d'avoir marché

(b) si le chien revient avec un oiseau autre que celui qui lui était destiné

(c) s'il y a un changement significatif dans le couvert qui peut ne pas être évident pour les juges

11.7 Evaluation du travail du chien

11.7.1 Le calme jusqu'au point d'élan est clairement défini dans ces règlements. Cependant, les chiens sur la ligne font parfois des mouvements variés quand ils sentent du gibier. De tels mouvements peuvent être interpretés comme étant des efforts faits par le chien pour améliorer sa vision de la tombée, et certains se produisent par pure excitation. Certains chiens s'avancent en rampant à partir de la ligne quand les oiseaux sont lancés. Si le maître-chien ne fait aucun effort pour l'arrêter ou le retenir, un juge ne devrait pas l'interpréter comme une intention délibérée à rapporter puisque rien n'a été fait pour retenir le chien. D'un autre côté, si le maître-chien fait un effort pour arrêter son chien, un juge devrait assumer que le maître-chien croyait que le chien avait l'intention de rapporter et devrait traiter ces infractions comme tel.

11.7.2 L'attention est démontrée dès que le chien vient à la ligne. Sa passion et attitude générale en venant à la ligne, son attention à repérer les tireurs, en donnant suite aux commandements de son maître-chien et dans son zeste pour la chasse sont des traits hautement désirables. A l'inverse, un manque d'attention et un manque d'intérêt devraient être pénalisés.

11.7.3 L'aptitude à repérer ne veut pas dire nécessairement localiser exactement la tombée. Un chien qui manque la tombée au premier coup mais reconnaît la profondeur de la région de la tombée, y demeure, et ensuite y chasse rapidement et systématiquement a fait un travail honorable et intelligent de repérage.

11.7.4 La livraison de l'oiseau devrait être faite au maître-chien directement au retour du ramassage. Il devrait être donné volontairement. Un chien ne devrait pas échapper l'oiseau avant de le donner et ne devrait pas figer ou ne pas vouloir le donner. Il ne devrait pas sauter après l'oiseau une fois que le maître-chien le lui a pris. Les pénalités pour mauvaise livraison peuvent varier de mineure pour un incident mineur isolé jusqu'à élimination de l'épreuve soit pour avoir fortement figé ou à cause d'infractions modérées répétées.

11.7.5 Le style est évident dans chaque mouvement du chien et durant la performance intégrale de l'évaluation, par exemple, par l'allégresse de son attitude en approchant la ligne, par son attention à la ligne, par sa passion et sa vitesse à rapporter, par son entrée dans l'eau, par son ramassage d'oiseaux, et par son retour avec eux.

11.7.6 Le style rend une performance agréable. Dans tous les niveaux d'évaluation en ce qui a trait au style, une performance souhaitable inclu une attitude alerte et obéissante, un départ vif et déterminé autant sur la terre que dans l'eau, une recherche agressive pour la tombée, un ramassage rapide et un retour raisonnablement rapide. Les chiens peuvent être crédités pour prestations exceptionnelles et démonstrations brillantes de style ou ils peuvent être pénalisés pour tout manquement de style, la sévérité de la pénalité variant d'un démérite mineur à élimination de l'évaluation dans les cas extrêmes.

11.7.7 La réponse aux commandements est de toute importance dans les évaluations de maîtrise ou quand un chien doit revenir au lieu de la tombée quand il a mal repéré. En réponse à de telles directions un chien devrait prendre la première ligne donnée par son maître-chien et continuer avec jusqu'à ce qu'il trouve l'oiseau ou jusqu'à ce qu'arrêté par le maître-chien et relancé. Il devrait alors continuer dans cette nouvelle direction jusqu'à ce qu'il trouve l'oiseau ou reçoive de nouvelles directions de son maître-chien.

11.7.8 La justification des fautes pour pénalités inclu ceci : ne pas prendre la première ligne donnée par le maître-chien; ne pas continuer sur cette ligne sur une distance considérable; arrêter volontairement, (i.e. surgir et regarder pour des directions); manque d'arrêter promptement et regarder le maître-chien quand il reçoit un signal; manque à prendre une nouvelle direction (i.e. un relancement quand donné), et manque à continuer dans cette nouvelle direction pour une distance considérable. La gravité de la pénalité pour chacune ou toutes ces fautes varie avec la gravité de l'infraction, si l'infraction était répétée et combien souvent, et s'il y avait combinaison de diverses infractions.

11.7.9 Avant d'infliger une forte pénalité à un chien dû à une faute d'arrêter promptement au coup de sifflet, les juges devraient déterminer si le vent, le couvert ou la distance nuisent sérieusement à la possibilité que le chien entende son maître-chien. En général, la performance dans l'évaluation devrait être considérée dans son entier. Un manque à prendre et tenir une direction peut être considéré une faute mineure, si compensé par plusieurs autres très bonnes réponses. Une pénalité considérable devrait être imposée pour désobéissance répétée et obstinée des ordres du maître-chien et une pénalité moindre quand, après avoir pris la bonne direction, il ne continue pas aussi loin que le maître-chien le désire. Arrêter volontairement peut être considéré une faute mineure mais de fréquentes répétitions peuvent classer ces arrêts dans la catégorie des fautes graves.

11.7.10 La majorité des rapporteurs ont un bon odorat et, règle générale, ils ont de nombreuses opportunités de démontrer cette qualité capitale à chaque évaluation. Habituellement quelque chose dans son travail suggère qu'un chien manque d'odorat et attire l'attention du juge. De tels doutes devraient être notés de façon à pouvoir les vérifier ou les éliminer selon sa performance dans des évaluations subséquentes. D'autre part, les conditions pour l'odeur sont tellement mystérieuses et sont tellement peu comprises (même si affectées évidemment par des éléments tels : type de couvert, vent, givre, pluie, endroit de la tombée, l'acidité du sol et apparemment plusieurs autres conditions) qu'une attention extrême doit être exercée avant qu'un chien soit accusé de pauvre odorat et pénalisé comme tel.

11.7.11 Le courage est un trait qui ne peut être jugé à chaque évaluation du Certificat de travail. Cela peut être démontré par une volonté à faire face, et sans hésitation, un couvert difficile, une eau froide ou agitée, la glace, la boue ou toute autre condition semblable qui rend le travail plutôt difficile, et de le faire de façon répétée. L'aménagement des lieux d'évaluation, ou les conditions météorologiques ne fournissent pas souvent les situations correctes pour une/des séries où le courage du chien est évalué. Parce que l'aménagement ou la météo nécessaire à une telle évaluation est souvent limité, de telles évaluations devraient habituellement venir tard dans l'évaluation, à moins qu'il y ait des motifs raisonnables d'assumer que tous les chiens recevront des évaluations comparables. Lorsque de telles évaluations peuvent être arrangées, elles sont fréquemment de grande valeur pour les juges en évaluant leurs mérites respectifs dans cet trait grandement désirable que tous les rapporteurs devraient posséder.

11.7.12 La persévérance est démontrée par la détermination du chien de continuer et compléter la tâche systématiquement, agressivement et sans hésitation, à chercher et trouver l'oiseau qu'on l'a envoyé pour rapporter. Un manque de persévérance peut devenir apparent quand : un chien revient au maître-chien volontairement d'une façon lente, nonchalante, désintéressée; le chien surgit ou regarde son maître-chien pour direction pour une tombée repérée avant d'avoir chassé pour un temps considérable ou le chien change d'oiseau, le chien nie un oiseau (i.e. manque de le prendre et en fait le laisse après l'avoir repéré). La majorité de ces fautes sont sérieuses et devraient être jugées comme telles.

11.7.13 La section de classification des fautes de ces règlements stipule qu'un chien devrait être éliminé pour dent dure ou gibier gravement endommagé mais, avant de le faire tous les juges devraient inspecter l'oiseau et être satisfaits que seul le chien était responsable pour le dommage. La dent dure est une des fautes pénalisées le plus sévèrement chez un rapporteur. De plus, dès qu'un chien a été jugé coupable de cette faute, il porte cette stigmate pour la vie. Dès lors, la dent dure ne devrait devenir le verdict des juges seulement quand il y a preuve irréfutable. La peau ou la chair déchirée n'est pas un témoignage suffisant, dans presque tous les cas, pour constituer une preuve puisque des dommages de ce genre peuvent être causés de plusieurs façons tels bâtons pointus et pierres dans le couvert. Les chiens peuvent endommager les oiseaux par inadvertance quand ils rapportent d'un couvert épais et également par leurs ramassages positifs rapides. De plus, à certains temps de l'année, les oiseaux sont particulièrement susceptibles à ces dommages. D'autre part, des os écrasés peuvent habituellement être acceptés comme fiables et preuve suffisante de dent dure. Ceci est la seule évidence prouvant en l'absence de déchirement particulièrement évident, flagrant et injustifié.

11.7.14 D'autres fautes sont fréquemment confondues avec la dent dure même si, en réalité, elles sont entièrement séparées et distinctes d'elle. En plus, cependant, le chien peut vraiment avoir la dent dure. Figer, en particulier, tombe dans cette catégorie. Un chien à dent dure peut faire une livraison délicate et, certainement, une livraison difficile ne veut pas dire dent dure. Faire rouler l'oiseau ou le jouer avec sa bouche pendant le ramassage peut être associé, de façon erronée avec la dent dure dans l'opinion de certains, même si l'oiseau n'est pas endommagé. Si une telle façon d'utiliser la dent est une faute, c'en est une d'importance mineure seulement.

11.7.15 Les juges devraient se souvenir qu'un chien est trouvé ayant une dent dure ou n'ayant pas une dent dure et, si coupable, il doit être éliminé de l'évaluation. D'autres types d'évidences peu concluantes devraient seulement être notées dans les notes des juges, en attendant de voir la façon dont les oiseaux sont manipulés dans les séries subséquentes. Même si ce n'est pas requis, il est considéré un geste prévenant de la part des juges de mettre de côté tout oiseau pour lequel un chien est éliminé pour dent dure et de le montrer au maître-chien de ce chien plus tard.

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